Les trophées d’économies d’eau 2024

Découvrez les lauréats de cette 4ème édition

Le jury a analysé 14 candidatures pour cette 4ème édition des trophées d’économies d’eau. Après une première délibération des membres du jury 9 projets impactant et réplicables ont été retenus pour figurer parmi les nominés. Bien que ces projets n’aient pas été distingués cette année, ils méritent d’être salués pour leur qualité et leur engagement :

  • Eaux du Bassin Rennais pour ses actions de sensibilisation des scolaires aux économies d’eau ;
  • La Communauté de Communes du Pays Dunois pour son opération d’achat groupé de récupérateurs d’eau pluviale ;
  • Le Syndicat des Eaux d’Île-de-France et Veolia Eau Île-de-France pour leur programme de sensibilisation Eco Cons’eau.

Les six lauréats sont :

Noréade, les régies du SIDEN-SIAN (62, 59, 02)

Il n’est pas toujours simple de sensibiliser aux économies d’eau quand l’imaginaire collectif pense que l’eau est abondante. Pourtant, dans les Hauts-de-France, la sécheresse n’est plus un phénomène exceptionnel.

C’est pourquoi, après avoir mis en place plusieurs actions de sensibilisation du grand public, les élus de Noréade, les Régies du SIDEN-SIAN ont souhaité se concentrer sur la sensibilisation des élèves en écoles élémentaires. En mobilisant les inspections académiques, les équipes de la collectivité du SIDEN-SIAN ont élaboré un concours scolaire qui permet d’inscrire plus durablement les messages de sensibilisation dans l’esprit des élèves tout en suivant les objectifs pédagogiques des programmes scolaires !

Riche de cette collaboration, le concours Maestr’eau a vu le jour. Divisé en trois concours distincts, il s’adapte aux niveaux de chacun comme suit :

  • Pinc’eau pour le niveau CP/CE1 consiste en la réalisation d’une création graphique sur le thème « L’eau c’est la vie » ;
  • Styl’eau pour le niveau CE2 consiste en l’écriture d’un recueil de poèmes en piochant dans le champ lexical de l’eau ;
  • Vidé’eau pour le niveau CM1/CM2 consiste en la création d’une vidéo de moins d’une minute et 30 secondes mettant en avant les écogestes.

Outre ce travail de production, les lauréats gagnent différentes dotations, notamment des sorties scolaires en lien avec le cycle de l’eau, des dotations de livres sur l’eau, et des carafes d’eau.

Cette année, 53 classes se sont inscrites au concours et 27 candidatures ont été reçues conformes pour un total de 700 élèves sensibilisés. L’ensemble des classes qui ont déposé un dossier complet ont pu être récompensées.

Cette démarche a vocation à rester pérenne et se répéter annuellement pour sensibiliser les adultes de demain.

 

Eau Ariège (09)

En Ariège, l’été 2022, marqué par des températures extrêmes inédites, a révélé les effets alarmant du changement climatique sur la ressource en eau. Cela a eu pour effet d’exacerber les défis liés à sa gestion face à une demande croissante pour l’agriculture, l’industrie et les besoins domestiques.

Le dispositif “Préservons la ressource” porté par Eau Ariège, en partenariat avec les acteurs de l’eau du département, a permis de développer une série d’initiatives pour sensibiliser les générations à l’importance d’une gestion durable de cette ressource précieuse.

Stand sur un évènement local

“Préservons la ressource” œuvre auprès des élèves et du grand public pour renforcer leur compréhension des cycles de l’eau, de son rôle dans les écosystèmes, et pour encourager des comportements responsables.

Les dispositifs mis en place sont multiples :

  • Pour les écoles, des animations éducatives abordent le cycle de l’eau et les écogestes, avec des visites de sites (usines de potabilisation & stations d’épuration). 500 élèves en ont bénéficié.
  • Pour transmettre ses messages et communiquer auprès du grand public, Eau Ariège utilise des canaux de communication variés : presse écrite, radio, réseaux sociaux, newsletters, plaquettes numériques, site Internet. Cette communication intergénérationnelle vise à encourager la pratique des écogestes au quotidien et à sensibiliser le plus grand nombre.
  • Participation à des événements locaux tels que la journée mondiale de l’eau à laquelle plus de 400 élèves ont participé, une table ronde (100 participants), la Randonnée de l’eau (500 participants) ou encore la Journée mondiale de l’environnement avec des stands présentant des supports visuels et proposant des jeux interactifs, des activités ludiques de sensibilisation et la distribution de kits d’économies d’eau.
Visite guidée d’une usine d’assainissement

Fort de son succès et de l’intérêt accru des établissements scolaires, Eau Ariège est sollicité pour l’élaboration d’un programme d’animations, d’ateliers interactifs et de sorties pédagogiques pour l’année scolaire 2024-2025. Des réunions de sensibilisation avec les habitants de deux communes sont également prévues, afin d’informer les résidents sur la gestion responsable de l’eau et de leur fournir des conseils pratiques pour l’économiser.

 

Le Centre Régional d’Écoénergétique d’Aquitaine (40)

Le Département des Landes a lancé un important programme d’accompagnement de cinq collèges dans la réduction de leurs consommations d’eau et d’énergie. Ce projet se focalise sur la modification des usages et des pratiques des différents acteurs, à savoir les élèves, les agents de restauration et d’entretien, et le personnel pédagogique et administratif, pour une action collective et transversale.

Enseignantes réalisant une activité autour des écogestes à pratiquer au sein du collège

Le Centre Régional d’Éco-énergétique d’Aquitaine (CREAQ), qui accompagne et conseil depuis plus de vingt ans les acteurs privés comme publics dans leurs projets de transition énergétique, a été désigné comme partenaire principal.

Après une phase de diagnostic approfondi des consommations d’eau dans chaque collège, Le CREAQ a initié le déploiement de formations et d’animations dédiées. Les objectifs clefs sont :

  • Adapter les comportements pour réduire les consommations d’eau et d’énergie.
  • Sensibiliser et former les différents publics.
  • Mettre en place des pratiques économes en eau.

Par la mise en place d’activités adaptées à chaque groupe – séances pédagogiques sur les économies d’eau pour les élèves, module de formation dédié aux agents d’entretien et de restauration, et stand de sensibilisation aux écogestes pour le personnel pédagogique et administratif – le CREAQ encourage l’adoption de gestes impactant pour réduire les consommations d’eau au quotidien.

La démarche a touché directement 522 personnes (adultes et enfants) permettant ainsi d’engager tous les acteurs du milieu scolaire vers un changement de comportements durable.

Face aux résultats encourageants obtenus – avec un nombre d’élèves sensibilisés et d’agents formés en nette augmentation – le Département des Landes projette d’étendre l’initiative aux 39 collèges du département. En 2024, le CREAQ continue d’accompagner ces établissements et forme des associations locales à l’animation destinée aux élèves pour un rayonnement de ses compétences sur tout le territoire.

La régie de l’eau de Bordeaux Métropole (33)

Dans le cadre de ses efforts pour protéger une ressource en eau de plus en plus influencée par les enjeux climatiques et démographiques, la régie de l’Eau de Bordeaux Métropole lance une initiative unique : étudier et optimiser les usages de l’eau au sein du secteur tertiaire public.

Au cœur de ce projet, 30 bâtiments du quartier Mériadeck, à Bordeaux, incluant notamment une bibliothèque, la Cour d’appel, l’Hôtel de Région Nouvelle-Aquitaine, l’Hôtel de ville de la mairie de Bordeaux, des jardins ou encore les tribunaux administratif et de justice.

Crédit photo : @FreeProd33 – Shutterstock

Cette démarche innovante s’appuie sur les compétences du LyRE (centre de recherche et d’innovation de Suez), et de la société spécialisée AKVO, avec pour objectif de mieux comprendre les usages de l’eau dans ces lieux emblématiques de la ville. Au-delà d’un simple diagnostic, l’ambition est d’identifier les pratiques, de détecter des économies potentielles et d’encourager une sensibilisation aux économies d’eau auprès de tous les usagers : personnels et publics.

Structuré en plusieurs phases, le projet inclut :

  • Une pré-étude avec l’identification et l’analyse des bâtiments concernés pour poser les bases d’une approche réplicable ;
  • Des diagnostics techniques par l’audit des installations d’eau pour mieux comprendre les disparités d’équipements et les potentiels d’amélioration ;
  • Une étude sociologique par le biais d’entretiens et d’enquêtes auprès des usagers afin de saisir leur perception de l’eau, leurs usages et les leviers de motivation qui pourraient les inciter à adopter des pratiques plus économes ;
  • La globalisation des diagnostics par une analyse intégrée à l’échelle du quartier pour identifier les synergies et développer une approche partagée de gestion de l’eau.Depuis juillet 2023, ce projet de 15 mois mobilise et rassemble des équipes pluridisciplinaires pour traiter à la fois des aspects techniques et comportementaux de la gestion de l’eau.Ce projet ambitieux, a pour objectif une gestion exemplaire de l’eau dans les bâtiments tertiaires et ne perd jamais de vue le facteur de réplicabilité afin de partager aux autres territoires une approche durable de l’eau dans le secteur tertiaire public.

Vue aérienne de la cartonnerie
Crédit Photo : Agence de l’eau Artois-Picardie

La cartonnerie Gondardennes (62)

Grâce à son projet de récupération et de gestion des eaux pluviales, la Cartonnerie Gondardennes, en collaboration avec l’Agence de l’Eau Artois-Picardie, s’impose comme un modèle d’exemplarité en matière de sobriété hydrique dans l’industrie papetière.

Son projet, opérationnel depuis mai 2024, est une avancée majeure dans la réduction des prélèvements en eau de ce secteur d’activité. Sur son site de Wardrecques (62), la Cartonnerie Gondardennes a mis en place un dispositif d’une vaste ampleur : la collecte, l’utilisation, le traitement et le recyclage des eaux pluviales issues de 113 750 m² de surfaces imperméabilisées dans le process de production

Cette initiative permet d’économiser près de 125 000 m³ d’eau du canal par an, réduisant la consommation à moins de 3 m³ par tonne de papier produite, soit 70 % de moins que la moyenne des papeteries conventionnelles.

Pionnière dans le domaine, Gondardennes avait déjà instauré un circuit d’eau fermé pour ses activités papetières dès 1992, devenant l’une des premières papeteries européennes à stopper totalement les rejets d’eau de process dans le milieu naturel. Ce nouveau projet s’inscrit dans cette continuité en intégrant les eaux pluviales à son processus industriel, renforçant ainsi sa résilience face aux enjeux climatiques et environnementaux.

Outre son impact direct sur la réduction des prélèvements d’eau, ce projet vise également à :

  • Promouvoir des pratiques exemplaires dans l’industrie papetière via l’Association Technique de l’Industrie Papetière (ATIP), en partageant son savoir-faire pour inspirer d’autres acteurs.
  • Sensibiliser les parties prenantes (employés, collectivités locales, entreprises) à l’importance d’une gestion durable de l’eau, notamment à travers son rapport RSE.
  • Répliquer ce modèle sur d’autres sites du groupe, notamment la Cartonnerie Lacaux à Limoges, et en collaborant avec des initiatives territoriales comme le projet « Territoire Engagé pour l’Eau » du Pays de Saint-Omer porté par l’Agence de L’Eau Artois­ Picardie et L’Agence d’urbanisme, de développement et du patrimoine du Pays de Saint-Omer.

Étant la première papeterie de France (voire d’Europe) à avoir associé un système de circuit fermé de l’eau de process et de valorisation des eaux non conventionnelles par la récupération d’eau de pluie, il paraît tout à fait justifié que ce projet ait été salué par l’Agence de l’Eau Artois-Picardie comme « exemplaire ».

Les Eaux de Beaufort (35)

Face à l’augmentation et à l’intensification des sécheresses, le service des Eaux de Beaufort, en partenariat avec l’Agence de l’Eau Loire-Bretagne, se mobilise pour une gestion plus résiliente de l’eau sur son territoire. Avec une population de 63 500 habitants et une croissance démographique (afflux important de touristes, transformation des résidences secondaires en principales), le territoire dépend entièrement de trois ruisseaux locaux, qui s’assèchent régulièrement lors des sécheresses prolongées. L’enjeux dépasse donc la recherche de nouvelles ressources en eau. Avec son protocole d’anticipation du plan ORSeC sécheresse (s’intégrant dans un plan de résilience 2024-2030 plus large qui vise à diminuer la consommation de 10 m³/an/abonné d’ici 2030), le Syndicats des Eaux de Beaufort veut changer la perception de la ressource de ses usagers et réduire durablement les consommations par l’expérimentation d’une situation de restriction hydrique.

Ce dispositif pionnier vise donc à :

  • Maintenir un accès minimal à l’eau même en situation critique, pour les foyers comme pour les infrastructures essentielles (EHPAD, écoles maternelles, défense incendie) ;
  • Interpeller en profondeur les esprits et les habitudes par l’expérimentation d’une situation de crise ;
  • Renforcer les capacités d’anticipation et de réaction collective face à des événements climatiques extrêmes.

Pour y parvenir, le projet se concentre sur :

  • La sectorisation temporaire par la mise en place de by-pass équipés de réducteurs de pression permettant de réduire la consommation sans compromettre l’accès à l’eau, même en mode dégradé ;
  • L’accompagnement de la population lors des exercices ORSeC sécheresse, au cours desquels, sur une période de 72 heures, les habitants expérimentent des conditions d’approvisionnement limitées. Cet accompagnement inclut des conseils pratiques pour adapter la consommation domestique et du porte à porte pour recueillir les retours d’expériences.

Trois essais pilotes, impliquant 400 logements, ont déjà démontré une réduction de 30 % des consommations, tout en révélant que 90 % des participants approuvent la nécessité d’anticiper et de s’adapter. Cette approche favorise également le dialogue citoyen, que ce soit lors de réunions municipales, ou dans les discussions du quotidien.

D’ici 2025, le Syndicat prévoit la réalisation de 35 exercices annuels sur les 35 communes de son territoire. Ce dispositif innovant est conçu pour être adaptable et reproductible dans d’autres contextes similaires, en particulier en milieu rural.

Grâce à une collaboration active avec l’Agence de l’Eau Loire-Bretagne et le soutien des habitants, les Eaux de Beaufort démontrent que même dans un territoire où l’eau est souvent perçue comme abondante, l’anticipation et l’adaptation à son évolution est une priorité. Grâce à ce protocole, l’expérimentation d’une situation de crise hydrique devient un levier d’innovation et favorise la résilience collective.

Les modalités de candidatures à cette 4ème édition

Cette année, le jury a évalué les candidatures selon quatre grandes catégories.

Tout d’abord, les Trophées ont récompensé les « Actions d’éducation, de sensibilisation et de communication », notamment à destination du jeune public dans les établissements scolaires et périscolaires, et à destination des touristes en particulier en période de crise sécheresse ou dans les territoires en tension.

Aussi, une catégorie a été dédié aux « Démarches d’économies d’eau dans les espaces recevant du public », notamment les établissements scolaires, périscolaires ou d’enseignement supérieur, les infrastructures sportives et de loisir, les établissements de santé et/ou médico-sociaux, les espaces végétalisés, les centres culturels, etc.

Une troisième catégorie a permis de récompenser les efforts et actions des petites et moyennes entreprises : « Démarches d’économies d’eau dans les petites et moyennes entreprises (commerciales, artisanales, industrielles, du bâtiment etc.) ».

Enfin, le « Prix spécial du jury » fut attribué à une initiative hors catégorie, se distinguant par son unicité et son originalité.

Les Trophées sont chaque années ouverts à tout organisme privé ou public indépendamment de son statut juridique. Cela comprend donc, de manière non-exhaustive : les collectivités territoriales et leurs groupements, les syndicats d’eau potable et d’assainissement, les entreprises, organismes professionnels, établissements d’enseignement, associations sociales ou environnementales, bailleurs sociaux, centres hospitaliers, etc. Des candidatures en partenariat entre plusieurs structures sont possibles.

Afin d’éviter les candidatures portées à des fins commerciales, nous demandons aux prestataires et fournisseurs de matériels de candidater en partenariat avec un client (collectivité, syndicat, hôtel, etc.). Cela nécessite que le client accepte de présenter son retour d’expérience et que ses informations de contact apparaissent dans le formulaire de candidature.

Il est nécessaire que le dispositif ait été mis en œuvre afin que des résultats soient communicables et puissent soutenir l’effectivité du dispositif. Les candidatures toujours à l’état de projet n’ont pas été étudiées par le jury.

Le jury a départagé les candidats selon 4 critères, exposés ci-dessous :

    • Le potentiel de réplicabilité de la démarche : le caractère d’intérêt général du dispositif, sa reproductibilité et faisabilité, ainsi que la clarté de la méthodologie décrite dans la candidature ;

    • L’impact du dispositif sur la ressource : l’efficacité du dispositif en termes de résultats obtenus (quantitatif ou qualitatif selon la catégorie) et sa pérennité. Les résultats quantifiés, même approximativement, permettent une meilleure appréhension de l’impact réel de la démarche sur la ressource. Cela implique que le dispositif ait fait l’objet d’une mise en œuvre concrète et qu’il ne soit pas encore au stade de projet ;

    • L’inscription du projet dans le territoire : l’adaptation au contexte local et la prise en compte de contraintes géographiques, hydro(géo)logiques, socio-économique, etc. et l’implication des parties prenantes (lien avec les acteurs du territoire et intégration au sein de la démarche) ;

    • L’incidence économique : l’impact de la démarche sur l’équilibre économique du service, les tarifs, et la prise en compte des éventuels effets socio-économiques néfastes.

La récompense est de caractère honorifique. Les lauréats ont été récompensés à l’occasion d’un évènement dédié à la remise des prix le 10 décembre 2024 dans les locaux de la FNCCR à Paris. Un trophée « physique » a été remis aux différents lauréats.

Leur démarche sera maintenant valorisée au travers de la rédaction d’une « fiche projet », de l’alimentation des recommandations du Club des économies d’eau et lors de l’organisation d’événements ultérieurs.

La distinction « Lauréat des Trophées d’économies d’eau 2024 » permet de valoriser les actions remarquables et les savoir-faire du lauréat, et de renforcer la notoriété du lauréat auprès des acteurs nationaux et territoriaux.

Cette année, le jury était composé de :

  • Hervé PAUL, Président du jury ;

  • Jean LAUNAY, président du Comité national de l’eau ;

  • Régis TAISNE, représentant la FNCCR ;

  • Alexis BARON, représentant de la plateforme Ideal Connaissances ;

  • Hortense BLANCHET, représentante du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires ;

  • Simon GODEFROY, représentant le cabinet d’étude Citéxia ;
  • Martin GUTTON, Directeur de l’Agence de l’eau Loire Bretagne ;

  • Marillys MACE, représentant le Centre information sur l’eau ;

  • Émilie LAURENT, représentant le SMEGREG ;

  • Des personnalités qualifiées :
      • Maxime BERTEAU, représentant l’agence de l’eau Rhône-Méditerranée-Corse ;

      • Arnault COMITI, représentant de CCI  France;

      • Patrick FAISQUES, un représentant de la Filière française de l’eau ;

      • Bastien RICHARD, représentant de l’agence de l’eau Adour Garonne ;

      • Benoit WIBAUX, représentant la plateforme Bonnes pratiques du grand Sud-Ouest.

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